Catégories
Gastronomie

Dépôt de plainte systématique contre les pâtissiers qui font des tartes aux mirabelles avec migaine

DÉBAT / TARTE AUX MIRABELLES – Le Syndicat de la Mirabelle dépose systématiquement plainte contre les pâtissiers qui font des tartes aux mirabelles avec migaine, “une atteinte grave à la dignité de la mirabelle”.

Recette officielle de la tarte aux mirabelles sans migaine
La recette officielle de la tarte aux mirabelles, c’est SANS migaine !
La préparer avec migaine est “une atteinte grave à la dignité de la mirabelle”, clame le Syndicat de la Mirabelle.

La fameuse petite prune ronde, de couleur jaune, originaire de Lorraine, la célèbre mirabelle, est à l’origine d’un débat auquel le Syndicat de la Mirabelle souhaite mettre définitivement un terme.

A la question : “La tarte aux mirabelles se fait-elle avec ou sans migaine ?” (pour les non lorrains, une migaine est une recette d’appareil pour tarte sucrée), le puissant Syndicat de la Mirabelle, haute autorité reconnue dans l’univers de la Mirabelle, répond sans aucune hésitation : “non !”

La mirabelle est une prune d’or. La préparer avec une migaine est une hérésie gastronomique. La mirabelle se suffit à elle-même, la mélanger à une recette d’appareil serait un crime gustatif. La mirabelle, on la respecte !

Anne-Laure Belmira, présidente du Syndicat de la Mirabelle

Le Syndicat de la Mirabelle n’hésite pas à déposer plainte systématiquement contre les pâtissiers qui osent proposer des tartes aux mirabelles avec migaine :

Notre mission consiste à défendre corps et âme notre belle mirabelle. Ainsi, pour tous ceux qui nous font l’affront de faire une tarte à la mirabelle avec migaine, soyez convaincus que nous déposerons plainte contre vous pour “atteinte grave à l’intégrité physique et psychique” des personnes qui mangeront ce genre de tartes.

Le fait de manger une tarte aux mirabelles avec migaine cause dans 70 à 80% des cas, de très sérieux troubles psychiques qui entraînent également dans certains cas des troubles psychosomatiques plus ou moins graves. Vous comprendrez donc bien que notre mission de défense de la mirabelle se couple à un engagement citoyen et sanitaire de défense du consommateur.

La tarte à la mirabelle, c’est sans migaine. Et si vous trouvez une recette de tarte aux mirabelles avec migaine, n’hésitez pas à en avertir le Syndicat de la Mirabelle afin que la recette soit effacée … et ainsi, des santés mentales préservées !


Recette officielle de la tarte aux mirabelles (sans migaine)

Ingrédients :
  • 1 pâte feuilletée
  • 1 soixantaine de mirabelles
  • 1 cuillère à soupe de sucre
Recette :
  • Préchauffer le four à 180°C.
  • Laver, dénoyauter et couper les mirabelles en deux.
  • Beurrer un moule à tarte et garnir de pâte (piquer légèrement la pâte à l’aide d’une fourchette)
  • Disposer les mirabelles debout en les serrant le plus possible
  • Saupoudrer de sucre
  • Faire cuire environ 40 minutes (thermostat 6)
NB : Le Syndicat de la Mirabelle refuse toute recette avec de la migaine
Catégories
Gastronomie

Selon une étude, les pains au chocolat sont meilleurs que les chocolatines

ALIMENTATION – Une étude réalisée à l’aveugle par un panel représentatif de 150 personnes arrive à une conclusion incontestable : 78% des testeurs préfèrent le goût des pains au chocolat à celui des chocolatines.

Incontestablement, le pain au chocolat est préféré à la chocolatine !

Les pains au chocolat seraient meilleurs que les chocolatines. C’est une étude très sérieuse menée par l’agence Marc & Tine, auprès d’un panel représentatif de femmes et d’hommes de 15 ans et plus.

Pour mener cette étude l’agence Marc & Tine a procédé à un test à l’aveugle :

Nous avons proposé un pain au chocolat et une chocolatine, produite par la même boulangerie, à chaque membre du panel, dont les yeux étaient bandés. Il en ressort que 117 personnes sur les 150 que comptaient le panel ont préféré le pain au chocolat, sans la moindre hésitation.

Agence Marc & Tine

Ainsi, la conclusion est claire : les pains aux chocolats sont meilleurs que les chocolatines. D’ailleurs, de moins en moins de boulangeries proposent des chocolatines, à l’instar de Damien, boulanger à Bayonne :

J’ai pris connaissance de l’étude où les Français préfèrent les pains au chocolat plutôt que les chocolatines. Pour le commerce, je dois donc m’adapter. Ainsi, je vais cesser la production de mes chocolatines pour produire des pains au chocolat.

Damien, boulanger à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)

Cette décision fera de Damien le premier boulanger défenseur de la chocolatine à cesser sa production, au profit de celle des pains au chocolat. Toutefois, Damien devra suivre une formation d’1 an avant de pouvoir commencer la production-vente des pains au chocolat :

Il faudra que je suive une formation à Strasbourg, car je n’ai jamais appris à faire des pains au chocolat. Je maîtrisais très bien les chocolatines, mais les pains au chocolat, c’est un tout autre art à maîtriser. Normalement, dans 1 an, à l’issue de ma formation complémentaire, je devrais pouvoir produire mes propres pains au chocolat, les premiers de Pyrénées-Atlantiques !

Cette étude risque donc de changer le paysage “pain au chocolat-chocolatine” en France. La Fédération des Boulangers prévoit que la production de pains au chocolat devrait exploser suite à cette étude, au détriment de la chocolatine.

Les chocolatines vont-elles disparaître ?

Catégories
Gastronomie

Les flatulences des végétariens et végans plus toxiques que celles des omnivores !

ALIMENTATION – Une étude de la très réputée Université de Lund (Suède) signale que les flatulences des végétariens et végans sont plus toxiques (et plus fréquentes) que les flatulences des personnes ayant un régime alimentaire plus diversifié. C’est ce qui ressort d’un travail de recherche de plus de 8 mois intitulé “Environmental impacts of nutrition” (Impacts de la nutrition sur l’environnement).

Végétariens et végans : leurs flatulences sont plus toxiques !

L’Université de Lund, la plus grande institution d’enseignement et de recherche des pays scandinaves, vient de livrer les conclusions d’une étude scientifique sur les “Impacts de la nutrition sur l’environnement”. L’objectif de cette étude était de déterminer en quoi nos modes de vie alimentaires pouvaient influer sur la production de gaz à effets de serre et plus spécifiquement en quoi la nutrition (assimilation des aliments par le corps) pouvait influer sur l’écologie.

Cette étude a débuté en septembre 2017, sous la direction du Professeur Jakobsson :

“Aujourd’hui, la recherche travaille essentiellement sur les impacts environnementaux de notre mode de production alimentaire. Trop peu d’études s’intéressent à l’étape en aval, la nutrition, c’est-à-dire comment le corps gère les aliments et peut affecter l’environnement.” peut-on lire dans la note introductive de cette étude.

L’étude s’est logiquement axée sur les flatulences, explique le professeur Jakobsson, quelques paragraphes plus loin :

“Les flatulences constituent l’élément essentiel qui affecte l’environnement en tant qu’une des conséquences des fonctions de nutrition. C’est pourquoi notre étude a pris l’angle essentiel d’étude des flatulences”.

Pour les besoins de cette étude, un échantillon représentatif de 180 personnes de 18 à 65 ans a été déterminé : 30 hommes + 30 femmes omnivores ; 30 hommes + 30 femmes végétariens ;  30 hommes + 30 femmes végans.

Dès les premières études des flatulences de cet échantillon, les résultats ont été sans appel :

“Les flatulences des végétariens sont sensiblement les mêmes que celles des végans. Ainsi les flatulences sont :

  • 1,4 fois plus nombreuses chez les végétariens / végans que chez les omnivores
  • 2,87 fois plus toxiques chez les végétariens / végans que chez les omnivores

On ne distingue aucune différence statistique qu’il s’agisse d’hommes ou de femmes, ou selon l’âge.”

Ainsi, l’impact des flatulences des végétariens et végans sur l’environnement sont de 2,87*1,4 soit 4 fois plus néfastes que les flatulences des omnivores !

“Même si l’alimentation des végétariens et des végans est moins polluante, cela est totalement compensé par leur nutrition” conclut l’étude.

Ainsi, qu’on soit omnivore, végétarien ou végan, on pollue autant la planète ! ; Les omnivores la polluent indirectement (production et distribution alimentaire) tandis que les végétariens et végans la polluent directement (flatulences plus nombreuses et plus toxiques).

Catégories
Gastronomie

Les secrets de fabrication du beurre salé

BEURRE SALÉ – Actubis vous révèle les secrets de fabrication du beurre salé. Vous avez toujours voulu savoir comment le beurre salé était fabriqué ? Suivez notre journaliste gastronomique Charlène, qui s’est rendue à Guérande en Loire-Atlantique.

En moyenne, une vache à lait salé permet de produire 500 briques de 500g de beurre salé par an.

Pour tout savoir sur le beurre salé, je suis partie à Guérande, ville réputée pour sa cité médiévale, ses marais salants et sa brière. Mais c’est surtout la commune référence pour la production de beurre salé. J’y ai rencontré Marius Ucrais (marin-salant) et Clarice Halley (agricultrice, éleveuse de vaches à lait salé). Tous deux m’ont dévoilé les secrets de fabrication du beurre salé.

Clarice m’a tout d’abord expliqué ce qu’étaient les vaches à lait salé :

“Les vaches à lait salé sont des vaches comme les autres, sauf qu’on les élève en les forçant à ne boire que de l’eau salée, contrairement aux autres vaches qui ne boivent que de l’eau douce. Ainsi, ces vaches produisent du lait naturellement salé. C’est cette base qui servira à produire le beurre salé.”

Ainsi, je viens de découvrir l’existence des vaches à lait salé ! Il fallait y penser : faire boire de l’eau salée aux vaches afin qu’elle produise un lait … salé !

Clarice complète :

“A Guérande, on ne donne pas n’importe quelle eau salée à nos vaches. On leur donne l’eau des marais salants de Guérande, une eau salée 100% pure qui permet aux vaches de produire un lait salé de qualité suprême. Il n’y a qu’à Guérande qu’on trouve une eau salée d’une telle qualité. Nombreux sont les éleveurs d’autres régions qui mettent du sel dans l’eau des vaches pour créer du beurre salé.”

C’est donc à Guérande que le lait salé est de meilleure qualité, puisqu’il s’agit d’une eau salée qui n’est pas coupée par d’autres produits. C’est aussi là que se trouvent les marais salants les plus réputés. Je vais donc interroger Marius, afin d’en savoir plus sur les marais salants :

“Parmi toutes nos aires saunantes, c’est-à-dire les zones de cristallisation du sel, nous en dédions environ la moitié à l’abreuvement en eau des vaches. Le métier de marin-salant à Guérande ne saurait se contenter d’extraire le sel, il consiste également à produire une eau salée de qualité, c’est-à-dire pure à 100%, afin que les vaches produisent un lait salé de qualité.

Ainsi, les vaches peuvent boire tant qu’elles veulent toute l’eau salée mise à leur disposition par nos soins.”.

Clarice m’explique ensuite la dernière étape :

“Une fois que la vache a bu et qu’elle a bien brouté les herbes des marais salants, son lait devient naturellement salé. Il n’y a alors plus qu’à la traire et à envoyer le lait ainsi collecté dans les fromageries de la région afin qu’elles transforment le lait salé en beurre salé.

En moyenne, chaque vache permet de produire 500 briques de 500g de beurre salé chaque année”.

Après toutes ces explications, j’ai goûté le beurre salé produit à partir du lait des vaches de Clarisse et je dois vous dire que je me suis délectée !

Catégories
Gastronomie

Le Carambar a meilleur goût grâce aux blagues Carambar !

CARAMBAR® – Une étude scientifique menée par des chercheurs Jamaïcains vient de prouver que le goût du Carambar® original (au caramel) semblait meilleur grâce aux blagues inscrites sur l’emballage.

Les Carambar meilleurs grâce aux blagues imprimées à l’intérieur de l’emballage, révèle une étude de l’Université de Kingston !

Un groupe de scientifiques Jamaïcains, de l’Université de Kingston, a mené une étude scientifique très sérieuse sur l’influence de l’humour sur notre goût. Pour mener cette étude, l’équipe s’est basée sur un échantillon de 500 volontaires dont la moitié n’avait jamais mangé de Carambar® et dont l’autre moitié en avait déjà mangés :

“Notre échantillon test est un groupe représentatif de 500 personnes volontaires. Nous avons réparti ce groupe en 2 équipes.

Pour la première équipe, nous leurs avons tout d’abord fait manger des Carambar® avec les fameuses blagues imprimées à l’intérieur de l’emballage, avant de leur faire manger des Carambar® identiques, mais avec des anecdotes de culture générale imprimées à la place des blagues.

Pour la seconde équipe, nous avons fait l’inverse.” nous explique le responsable de l’étude, Llanzo Wilson.

Après les avoir fait consommer les Carambar, aussi bien pour l’équipe 1 que pour l’équipe 2, les conclusions sont sans appel, comme le justifie L. Wilson :

“Dans les 2 cas, pour chacune des 2 équipes, les testeurs assurent que les Carambar® étaient meilleurs lorsqu’une blague était imprimée à l’intérieur plutôt que lorsqu’il s’agissait d’une anecdote de culture générale alors même qu’il s’agissait exactement des mêmes Carambar !”.

Ainsi, si Carambar® connaît un tel succès, c’est non seulement en raison du goût de ses barres caramélisées, mais aussi grâce à ses blagues … qui influent sur notre perception du goût !

 

Catégories
Gastronomie

Le grand chef Walter Cozeth invente des moules “Thon – Cake” !

GASTRONOMIE – Le grand chef étoilé belge Walter Cozeth est un créatif culinaire sans égal qui ne cesse de nous surprendre ! En effet, il vient d’inventer des moules “Thon-Cake” succulentes !

Moules Thon Cake
Le chef étoilé belge, Walter Cozeth, crée des moules “Thon-Cake”

“La gastronomie, c’est une fourchette d’inventivité et une petite cuillère de savoir-faire”, tel est le slogan du chef étoilé belge Walter Cozeth.

Ce chef étoilé réputé vient de nous faire une énorme surprise culinaire, très osée : des moules “Thon-Cake”. Il est vrai qu’il faut oser marier coquillages, poisson et cakes !

Walter Cozeth nous explique sa démarche :

“Marier moules et thon n’est pas rare, on trouve de nombreuses recettes à ce sujet. Mon idée a été d’ajouter un cake pour offrir une texture originale à cela. Donc, je mélange thon-cake, dont je garnis la moule …  Et ça nous donne des moules “Thon-Cake” que tout le monde nous envie !”

Une énorme envie en effet ! Ayant eu la chance de déguster ce mets délicieux, je peux vous dire que Walter Cozeth mérite pleinement d’être un grand nom de la gastronomie ; il est vraiment dans l’air du temps.

On n’a pas fini d’entendre parler de lui et c’est tant mieux !