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Juste après être allés sur un site de rencontres, 58% des internautes vont sur un site porno !

STATISTIQUES INTERNET – Une étude statistique menée sur les sites web montre que 58% des internautes inscrits sur un site de rencontres se rendent juste après sur un site pornographique !

58% des internautes qui consultent des sites de rencontre surfent juste après sur des sites pornographiques !

Une statistique insolite vient d’être dévoilée par l’institut de sondages “BVA”. Elle porte sur “le lien entre la consommation de sites pornographiques et les sites de rencontres”. Les conclusions de cette étude sont claires : 58% des internautes qui ont surfé sur un site de rencontres se rendent juste après sur un site pornographique !

Selon Alphone Tadanle, responsable du service Web chez “BVA”, les conclusions à tirer sont claires :

“Les membres inscrits des sites de rencontres ‘traditionnels’ sont pour près de 80% des célibataires. Chez les célibataires, on sait que 90% d’entre eux consultent des sites pornographiques au moins 1 fois par semaine. Ainsi, il est logique de voir qu’autant d’internautes des sites de rencontres consomment également des vidéos pornographiques.

Mais notre étude voulait aller au-delà de ces faits établis, pour déterminer les liens entre la fréquentation d’un site de rencontres et la consultation de vidéos pornographiques qui s’ensuit. Or, on a été très surpris en plaçant nos trackers (ndlr : outils de suivi des sites consultés par les internautes) ! En effet, on s’est rendu compte que 58% des internautes, après avoir consulté un site de rencontres, se rendaient sur un portail de vidéos pornographiques.

On peut ainsi en tirer la conclusion que les sites de rencontres créent une frustration sexuelle chez les membres inscrits et qu’ils se libèrent de cette tension juste après, à l’aide de vidéos pornographiques”.

Ainsi, le marché de l’amour est très proche du marché du sexe … Comme dans la vie réelle en somme …

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La moitié des embouteillages en ville dus au stationnement

EMBOUTEILLAGES – Une étude de l’Association des Routiers vient de prouver que 46% des embouteillages qui ont lieu en ville sont dus au stationnement, et tout particulièrement aux créneaux.

Le stationnement engendre près de la moitié des embouteillages en ville.
Le stationnement engendre près de la moitié des embouteillages en ville.

L’Association des Routiers vient de mener une enquête afin de déterminer les véritables raisons des embouteillages en ville. Alors qu’on accuse généralement les infrastructures routières insuffisantes, l’étude menée par cette association prouve que 46% des embouteillages sont dus au stationnement. John Gérard, secrétaire de l’Association des Routiers, nous rapporte l’effet domino occasionné par le stationnement en ville :

“Le stationnement en ville engendre de nombreux embouteillages avec un effet domino. Lorsqu’une personne se stationne, les 15 à 30 secondes moyennes prises pour se garer – qui immobilisent de fait les véhicules qui arrivent derrière – peuvent engendrer jusqu’à 15 à 30 minutes d’embouteillage. On est à un rapport *60 en pleine circulation !

En des termes plus concrets, cela signifie que si vous êtes en train de rouler avec des personnes qui vous suivent et que vous souhaitez vous stationner, les personnes qui sont derrière vous vont devoir s’arrêter. Sur les 15 à 30 secondes que cela vous aura demandé, celui qui est derrière perdra 20 à 35 secondes (le temps de s’arrêter, d’attendre que votre stationnement soit bien terminé, de redémarrer en toute sécurité, etc.). Et ceux qui sont derrière perdent un peu plus de temps et ainsi de suite.

Ce temps d’attente globalisé ne cesse donc de croître, selon le même principe que l’effet accordéon, ce qui a des répercussions sur les embouteillages globaux.”

Ainsi, c’est une sorte d’effet papillon du stationnement sur les embouteillages que vient de prouver cette étude.  En heure de pointe et dans un contexte de pleine circulation, une personne qui met 15 à 30 secondes pour se stationner engendre l’équivalent de 15 à 30 minutes d’embouteillages.

Bien évidemment, il s’agit là de statistiques et tout dépend du lieu où l’on se trouve. Ainsi, plus une ville est embouteillée, plus les conséquences sont dramatiques, comme nous l’explique John Gérard :

” A Marseille, ville la plus embouteillée de France, un stationnement qui prend 15 secondes engendre jusqu’à 30 minutes d’embouteillages.

A Paris, un même stationnement engendre 29 minutes d’embouteillage, à Montpellier 18 minutes, à Bordeaux 17 minutes, à Lyon 16 minutes, à Nice 15 minutes, à Strasbourg et Toulouse 14 minutes, etc.”

Mais ce rapport fait état d’une autre conclusion, plus insolite et amusante  :

“Si tout le monde réussissait son créneau du premier coup, en moyenne, près de 26% du temps d’embouteillage en France serait supprimé !”

Et si on croise cela aux statistiques de ceux qui ratent leur créneau :

“On peut parvenir à la conclusion que 19% des temps d’embouteillages sont dus aux femmes qui ne savent pas faire leur créneau”

Ainsi, la conclusion du rapport de l’Association des Routiers fait état de quelques recommandations :

“Il faut absolument que les Français apprennent à réussir leurs stationnements, et tout particulièrement leurs créneaux. Il peut être judicieux de développer davantage les véhicules qui se garent tout seul. Il faut également faciliter les stationnements qui ont un minimum de répercussions sur la circulation, comme les stationnements en épis plutôt que ceux en bataille ou que ceux en créneau.”

Ne vous mettez pas la pression outre mesure … votre stationnement qui ne prend que 15 secondes engendre seulement, en moyenne, 15 minutes d’embouteillage en ville. Et si vous mettez 5 minutes pour vous stationner, probablement aurez-vous été viré de votre véhicule avant que cela n’occasionne 1 heure d’embouteillage !

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Le dispositif alerte enlèvement, trop efficace, va être supprimé

DISPOSITIF “ALERTE ENLEVEMENT” – Avec 100% de réussite, le ministère songe à supprimer le dispositif “Alerte enlèvement”. Sa trop grande efficacité n’est pas crédible aux yeux des français.

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“Alerte Enlèvement” : le dispositif, trop efficace, va être supprimé.

Les Français ne sont pas habitués aux dispositifs efficaces à 100% mis en place par l’Etat. Ainsi, une enquête IP-SOS fait ressortir que 83% des français sont “surpris” ou “extrêmement surpris” devant tant d’efficacité.

Devant cet étonnement généralisé, sa suppression est envisagée. On nous explique pourquoi :

“Ce dispositif est trop efficace. 100% de réussite, c’est du jamais vu. Le sondage IP-SOS en témoigne. Suite à l’audit de ce dispositif, on en a conclu qu’un tel taux de réussite était impossible, surtout en France. Il y avait donc forcément un problème quelque part. On a donc décidé de le suspendre, même si on tend vers sa suppression définitive.”

Ainsi, le dispositif “Alerte enlèvement” tel qu’on le connaît a toutes les chances d’être supprimé. Mais il sera remplacé par un autre système :

“Le dispositif ‘Alerte Enlèvement’ est trop efficace, ce qui témoigne d’un problème dans son fonctionnement. C’est pourquoi on travaille à un dispositif plus lourd, pour certes des taux de résolution moindres, mais qui sera plus logique d’un point de vue statistique.”

Puisqu’en effet, tout le problème de ce dispositif résiderait bien dans les statistiques. 100% de réussite serait impossible ? Nous avons posé la question à Jonathan Pierrat, statisticien et champion du monde du calcul statistique complexe en 5 minutes :

“En probabilités, on a 2 lois :

– la loi de la moyenne qui veut que les événements s’égalisent avec le temps.

– la loi des grands nombres : à mesure qu’augmente la taille d’un échantillon (ici le nombre de disparitions), la moyenne des résultats se rapproche de la probabilité mathématique.

Aussi, cela n’est valable que si on raisonne en termes purement mathématiques. Ici, ce qui influe sur les résultats est la dimension humaine (H) qui complique l’équation de probabilité pure. Cela reviendrait à dire que ‘H’ parvient à défier toutes les statistiques, ce qui est du jamais vu pour des événements aussi impondérables, imprévisibles et si différents !”

On en déduit donc qu’à terme, ce 100% de réussite se réduirait irrémédiablement selon un raisonnement mathématiques pur.

Nous avons exposé ces explications au gouvernement :

“Le témoignage que vous nous avez envoyé confirme notre audit. Toutes les statistiques ont été étudiées. 100%, c’est impossible : il y a forcément une faille. Etant donné qu’on ne sait pas où elle est, on change tout et on recommence avec un dispositif plus réaliste et plus proche de la réalité mathématiques que vous nous avez citée.”

Certes il y aura plus de disparitions non résolues, mais ce sont les mathématiques qui parlent !